1-Le Groupe
La formation de ce groupe Landais (du côté d'Aire-sur-Adour) remonte à décembre 2000. Il se compose de quatres membres issus du groupe punk "Les Belettes Lobotomisées". Après le départ du chanteur, Niko abandonne la gratte pour prendre le micro et avec Franck (bassiste), Mathieu (guitariste) et Julien (batteur) un nouveau style naît, désireux d'apporter un peu plus de sérieux et de gros son à leur punk. Ainsi voyent le jour les GLLOQ rejoint un an plus tard par Jean-Yves qui apporte encore plus d'amplitude au groupe avec sa guitare.2-Style et caractéristiques
Influencé par de nombreux groupes tels que Black Bomb A, Dagoba, Slpiknot, Exploited et d'autres, GLLOQ produit un métal Hardcore puissant et énergique à la frontière du punk et du métal.3-Les concerts
Après avoir pas mal bourlingué dans les 4 coins des Landes (notament Dax et Mont-de-Marsan), GLLOQ fait une première sortie remarquée au Koslow à Bordeaux en août 2003 en première partie de Cris d'Alerte, Bad Nasty et Order (groupe de punk japonais). En juillet 2005 GLLOQ participe au festival Distorsion à L'Isle-Bouzon (Gers) et remet le couvert avec l'association Distorsion en avril 2006. En février 2007 ils se produisent au Son de l'Innocence à Montauban avec le groupe Khéméia.4-Discographie
Durant l'été 2002, GLLOQ enregistre une démo de cinqs titres intitulé L.E.F. au studio RDC à Cazères-sur-Adour dans les Landes.Track list : 1-Expression directe 2-Vive la musique 3-Yaourt 4-Hero 5-L.E.F.Cette démo a fait l'objet d'une interview et d'un article dans le magazine Métalland la même année.5-Contacts
Niko (chanteur), faisant partie aussi de l'asso Distorsion :Nicolas Bernadicou Au village 32380 L'Isle-Bouzon tél : 05 62 68 94 77 port : 06 74 69 96 19 mail : [email protected]Chronique de Métalland
Quand les Landes se réveillent, ça nous donne Gojira, qui n..est plus à présenter, et plus récemment les G.L.L.O.Q, qui dans un style tout à fait différent, ont su impressionner par leur talent et leur sérieux. Après avoir longtemps repoussé l'épreuve du studio, ils se sont lancés, et ça nous donne ce "Liberté, Egalité, Fraternité" rageur, une ode à la révolte et à la liberté sous toutes ses formes.
Dès le début du disque, on ne peut s'empêcher de secouer la tête au rythme des guitares carrées et bourrées d'effets, accompagnées de mains (de voix?) de maître par un chanteur qui doit être fan des Béruriers Noirs.
Les Landes se réveillent enfin et on ne peut qu'applaudir l'émergence de groupes motivés et talentueux. Le seul reproche que je ferai (et oui, ils n'ont pas assez payé pour une chronique parfaite) concerne la longueur du disque... 13 minutes c'est trop peu vu la qualité générale de l'ensemble. Alors messieurs, j espère que vous n'avez pas jeté l'adresse du studio, parce qu'il va falloir y retourner et fissa (surtout que pour un premier mini, la production est bonne).