FSP - Pas de Premier ni Dernier
envoyé par Freres_Daiguenne Avec des textes alliant mélancolie et amertume, spiritualité et positivité, ainsi que des influences musicales variées (de la soul au funk en passant par le métal ou encore les musiques du monde) FSP propose un hip hop actuel fidèle aux valeurs fondatrices de ce mouvement.FSP c’est la rencontre entre différents univers et parcours musicaux : ICBM est musicien depuis des années, et s'est trouvé un intérêt pour le hip hop vers 2002/2003 en écoutant essentiellement du rap des années 90. Il fait ses premières productions à cette époque et rencontre DEMA et MONCEF par l'intermédiaire d'un ami d'enfance CHERNO, mc à l’origine du projet FSP.DJ STYLUS faisait partie du groupe de métal INZINIA dans lequel il côtoyait ainsi ICBM. Passionné par le scratch et la culture hip hop, il rejoint le collectif dès le début et s'attache à créer une harmonie entre les instrus et les rappeurs.DEMA et MONCEF écrivent leurs premiers textes vers l'age de 14/15 ans (1994), pour le plaisir. Ils passent par plusieurs groupes dont PERSEIGNE CLICK avec qui ils jouent dans différents concerts et festivals locaux en Basse Normandie et en Nord Sarthe vers 1998. Avant de former FSP, ils intègrent le groupe TROMAT fondé par MAKILA, mc qui les accompagne dès qu'il le peut dans les différents projets. Partant souvent d'un bilan désastreux de notre monde dans leurs textes, ils ramènent l'espoir en exorcisant les maux du peuple par le biais de la musique.« FSP avec des paroles revendicatives mais non violentes a donné une image intelligente du rap qui devrait faire changer les mentalités sur ce style musical. »Ouest France 02/2006 « Leurs textes justes, parlant de leurs vies, leur communication avec le public nombreux et leur originalité ont fait la différence. »Orne Hebdo 02/2006 « Le point fort de FSP, ce sont des musiciens qui viennent d'autres horizons comme le métal, et trois chanteurs, dont deux originaires de Perseigne, dont les textes sont engagés sans être agressifs » Ouest France 04/2006 « Plébiscités par le vote du nombreux public présent au Callagan le samedi 1er avril, les cinq rappeurs ont su remporter l'adhésion et les votes de l'assistance grâce à des textes revendicatifs et lourds de sens mais chantés d'une façon ludique, positive et pacifique »Orne Hebdo 04/2006
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